Marie anne Charlotte Corday au citoyen Marat. Il suffit que le Livre de la mort PDF sois bien malheureuse pour avoir droit à votre bienveillance. On y voit Jean-Paul Marat, révolutionnaire français assassiné chez lui le 13 juillet 1793 par Charlotte Corday. Convention de la mort de Marat le 13 juillet 1793, le député Guiraut réclame à David de faire pour Marat ce qu’il avait fait pour Lepeletier de Saint-Fargeau, à savoir, représenter la mort du conventionnel par ses pinceaux.


Le tableau est une huile sur toile de 165 sur 128 centimètres. Se détachant d’un fond brun-vert, le corps du conventionnel Jean-Paul Marat est représenté agonisant. La tête enveloppée d’un turban blanc est penchée sur le côté. Sa main droite pendante, tient une plume, le bras gauche repose sur le rebord d’une planche recouverte d’un tissu vert, la main tient une feuille écrite. Marat, que l’on surnommait à l’époque l’ami du peuple fut assassiné le 13 juillet 1793 et ce crime fut considéré par les révolutionnaires comme un attentat contre la nouvelle Constitution.
Détail de la lettre de Charlotte Corday que tient Marat. La Mise au tombeau, Le Caravage, Musées du Vatican. Marat qui rappelle l’abandon d’un Christ mort d’une déposition ou d’une déploration. Quatre copies sont recensées, visibles au musée du Louvre, au Château de Versailles, au musée des beaux-arts de Dijon et au musée des beaux-arts de Reims. Bruxelles était, ou non, l’original, ce qui n’est désormais plus contesté. De qualité inférieure à l’original, elle faisait partie de la collection de David et conservée dans son atelier de Bruxelles. La copie de Versailles faisait partie des deux copies que David avait conservées avec lui à Bruxelles.